Nous avons une succession de mesures qui interrogent, quand même, sur la voie unique électoraliste de la gauche parlementaire social démocrate. Nous avons appris, le pillage par la TVA des Français, de l’enseignement public par le financement sans validation démocratique de l’enseignement privé, un premier ministre parjure, toute une série de mesures, à l’unisson de l’extrême droite, derrière « tous derrière et lui devant » Retailleau (qui s’opposera à la proportionnelle) et ses surenchères racistes.
Privatisation de l’audiovisuel
une Holding médiatique
La holding médiatique imposée par Dati et Macron marque une nouvelle étape dans la démolition méthodique du service public de l’information. Sous couvert de modernisationc (un classique) , ce projet confirme l’alliance entre la droite libérale, le centre technocratique et l’extrême droite réactionnaire, tous unis pour liquider ce qui reste d’indépendance journalistique, tous unis derrière les bannières du bloc bourgeois. Nous avons là une tentative de mise au pas, de reprise en main politique brutale, visant à museler toute voix dissonante et à transformer l’audiovisuel public en relais docile du pouvoir. Les suppressions d’emplois annoncées ne sont qu’un prétexte : il s’agit avant tout d’offrir un nouveau marché au secteur privé, toujours avide de détricoter les acquis collectifs au nom de la rentabilité.
Face à cette offensive, les organisations de gauche, les syndicats et les salariés des médias publics se mobilisent contre un projet néfaste qui menace jusqu’à l’existence même d’une information libre. La grève condamne depuis 4 jours, les antennes à la musique, face aux insultes de Dati.
Radio France, France Télévisions et l’INA, déjà fragilisés par des années de coupes budgétaires, risquent de devenir des coquilles vides, soumises aux injonctions politiques et aux intérêts des actionnaires. Les députés de gauche tentent d’opposer une résistance, mais le rouleau compresseur macroniste, soutenu par une coalition hétéroclite allant des Républicains au RN, montre à quel point la défense du service public n’est plus une priorité pour les élites au pouvoir. Ce projet est une agression réactionnaire au mépris du droit des citoyens à une information pluraliste et indépendante.
Cette holding répond à une stratégie plus large de contrôle de l’espace médiatique, où le gouvernement cherche à étouffer les contre-pouvoirs tout en favorisant ses alliés industriels. Les salariés,les travailleurs, déjà sous pression, voient leurs conditions de travail se dégrader, tandis que les contenus sont appelés à être standardisés, aseptisés, vidés de toute critique sociale ou politique. C’est un tournant autoritaire qui se dessine, où l’information devient un outil de propagande plutôt qu’un bien commun.
La bataille contre cette réforme dépasse le cadre syndical : c’est un combat politique et démocratique.
Pour le citoyen « ordinaire »
Nous avons une succession de mesures qui interrogent, quand même, sur la voie unique électoraliste de la gauche parlementaire social démocrate. Nous avons appris, le pillage par la TVA des Français, de l’enseignement public par le financement sans validation démocratique de l’enseignement privé, un premier ministre parjure, toute une série de mesures, à l’unisson de l’extrême droite, derrière « tous derrière et lui devant » Retailleau (qui s’opposera à la proportionnelle) et ses surenchères racistes.
Privatisation de l’audiovisuel
une Holding médiatique
La holding médiatique imposée par Dati et Macron marque une nouvelle étape dans la démolition méthodique du service public de l’information. Sous couvert de modernisationc (un classique) , ce projet confirme l’alliance entre la droite libérale, le centre technocratique et l’extrême droite réactionnaire, tous unis pour liquider ce qui reste d’indépendance journalistique, tous unis derrière les bannières du bloc bourgeois. Nous avons là une tentative de mise au pas, de reprise en main politique brutale, visant à museler toute voix dissonante et à transformer l’audiovisuel public en relais docile du pouvoir. Les suppressions d’emplois annoncées ne sont qu’un prétexte : il s’agit avant tout d’offrir un nouveau marché au secteur privé, toujours avide de détricoter les acquis collectifs au nom de la rentabilité.
Face à cette offensive, les organisations de gauche, les syndicats et les salariés des médias publics se mobilisent contre un projet néfaste qui menace jusqu’à l’existence même d’une information libre. La grève condamne depuis 4 jours, les antennes à la musique, face aux insultes de Dati.
Radio France, France Télévisions et l’INA, déjà fragilisés par des années de coupes budgétaires, risquent de devenir des coquilles vides, soumises aux injonctions politiques et aux intérêts des actionnaires. Les députés de gauche tentent d’opposer une résistance, mais le rouleau compresseur macroniste, soutenu par une coalition hétéroclite allant des Républicains au RN, montre à quel point la défense du service public n’est plus une priorité pour les élites au pouvoir. Ce projet est une agression réactionnaire au mépris du droit des citoyens à une information pluraliste et indépendante.
Cette holding répond à une stratégie plus large de contrôle de l’espace médiatique, où le gouvernement cherche à étouffer les contre-pouvoirs tout en favorisant ses alliés industriels. Les salariés,les travailleurs, déjà sous pression, voient leurs conditions de travail se dégrader, tandis que les contenus sont appelés à être standardisés, aseptisés, vidés de toute critique sociale ou politique. C’est un tournant autoritaire qui se dessine, où l’information devient un outil de propagande plutôt qu’un bien commun.
La bataille contre cette réforme dépasse le cadre syndical : c’est un combat politique et démocratique.
Pour le citoyen « ordinaire »
Que « moi » je paye une redevance était vraiment l’idéal : cela me garantissait que le chef c’était « moi »
à la limite j’ai compris un peu de pub, pour le financement…
mais tout privatiser, moi qui passe mes journées à écouter chacune des radios selon mon humeur de moment et leurs programmes
… comme pas question d’écouter des radios privatisées… que me restera-t-il ? : pas question d’allumer la télé la journée… on ne peut lire 12 heures par jour, ni non plu jouer au bridge (sur le net) toute la sainte journée. Alors les isolées, les vieux, que va-t-il nous rester. D’après moi on est plus en âge de se faire entuber … mais peut-être suis-je naïve ??
… au fait grand Merci à Mediapart pour ce sujet des plus chauds pour chaque citoyen… il faudrait le rendre accessible à tous